jeudi 28 décembre 2017

Pensez-vous que c'est bénéfique de faire le bilan de l'année ?

3 commentaires :
Dans quelques jours, une nouvelle année s'offre à nous : l'année 2018 !

Quand une année arrive à sa fin, êtes-vous tenté d'en faire le bilan ? Regardez-vous les 365 jours qui viennent de s'écouler avec un certain recul ?

Ce matin j'ai lu un article de Zenopia intitulé "en 2017, j'ai...". Cela m'a donné envie de réfléchir à mon année 2017. Quelle est la meilleure façon faire le point sur ces moments vécus ?

J'aime ce début de phrase "En 2017, j'ai...", qui donne un cadre très ouvert pour repenser l'année passée.
En 2017 j'ai.....

Les questions que l'on va se poser vont fortement orienter la façon dont nous allons repenser à l'année passée. Quelles seraient selon vous les bonnes questions qui vous permettraient de faire le point ?

D'ailleurs les questions constituent-elles l'unique approche ? Et si le bilan passait par la matière ?
Une peinture, un dessin, une sculpture, des travaux qui s'achèvent, du rangement, un arbre planté...

Ou un acte symbolique ?

En quoi est-ce important de matérialiser les cycles et le temps qui passe ?

Un rituel qui permet de passer d'une étape à une autre, de clore ce qui doit l'être et de laisser de la place à ce qui doit naître et être...

Prendre le temps pour inspirer, s'inspirer et expirer, s'exprimer...

Et parfois... c'est le mojito qui reste la meilleure façon de faire le bilan !

vendredi 15 décembre 2017

lundi 20 novembre 2017

Dans quelle mesure pensez-vous que votre prénom a une influence sur votre vie ?

3 commentaires :
Quel est votre prénom ? Voici une question à la fois anodine et finalement très personnelle aussi...

Ce matin j'ai fait une recherche sur l’étymologie de mon prénom, Stéphanie.

Ce que j'ai découvert dans plusieurs articles me fait réfléchir, car je me reconnais dans beaucoup de points de la description. Pour ceux qui me connaissent, qu'en pensez-vous ? 

Voici ce que l'ai lu ici à l'instant : 

Personnalité de Stéphanie 

"Sincère et indépendante, Stéphanie est une personne qui ne cherche jamais à blesser son entourage. Naturellement optimiste, elle voit le bon côté des choses et fait preuve d’un esprit ouvert et communicatif. Active et énergique, Stéphanie a besoin de bouger et se fait souvent remarquer. Toutefois, elle peut paraître insouciante et a parfois du mal à se stabiliser. Stéphanie aime impressionner son entourage et se laisse rarement influencer. 

Quoi qu'il advienne : JE VIS

2 commentaires :
Quoi que j'aie fait par le passé
Ou que mes ancêtres aient fait
Ou pas fait

Quoi que tu ressentes à mon égard
Quelle que soit ta souffrance
Quelle que soit ma peine
Quelle que soit ma joie

Quels que soient les morts qui n'ont pas été enterrés
Ou qui n'ont pas été pleurés

Quels que soient les liens du passé qui me retiennent
Ou je que je laisse me retenir

Quelles que soient les énergies qui m'entourent
Ou me détournent

Quels que soient mes doutes
Quels que soient mes rêves
Quelle que soit la noirceur du monde
Où la beauté de ton coeur

Quoi que tu fasses

vendredi 17 novembre 2017

Nada, presque rien : ou le récit d'une femme qui change de vie

4 commentaires :
Qu'est-ce qui nous pousse un jour à prendre une décision qui va changer le reste de notre vie ?

Dans quelle mesure sommes-nous libres de devenir une autre personne, plus proche de ce que nous sommes au fond de nous ?

Un jour Nada décide de quitter son mari, de tout laisser et de partir.... Finalement c'est aussi une part d'elle-même qu'elle va abandonner, pour mieux se (re)trouver.

Dans ce roman de Laurence Neige, les côtés les plus sombres et les plus lumineux de l'être humain se côtoient.

On est littéralement plongé dans le cerveau de Nada, dans ses tripes et dans son dialogue intérieur, au fur et à mesure des jours qui vont l'emmener à vivre de nouvelles expériences.

Qu'est-ce qui change une vie ? Suffit-il de décider un jour que cela ne peut plus durer comme ça ?

J'ai littéralement plongé dans la lecture de ce livre de Laurence Neige que j'ai fini en 2 jours. 

lundi 13 novembre 2017

Méditer ou l'art de revenir en soi

2 commentaires :





La méditation…


C’est un vaste sujet. Une définition et des centaines de manières de pratiquer.

Je dirais que c’est à chacun d’essayer, de voir ce qui lui convient le mieux. Il n’y a pas de règles ou d’interdits.

Ou bien c’est la façon dont j’envisage les choses.

J’ai tenté de suivre quelques méthodes.

Et puis je suis revenue à moi, à ce qui comptait pour moi.


Comment je médite alors ?


Le plus simplement du monde.

Je m’assois en tailleur, le dos droit mais soutenu, car c’est une position dans laquelle je me sens bien.

Puis je me concentre sur ma respiration.

Et je lâche doucement prise.

J’essaye de maintenir un rythme régulier – 10 minutes par jour.

Pour certains ce sera beaucoup, pour d’autres très peu.

C’est ce qui me convient aujourd’hui.


Demain, qui sait!

Je me laisse porter par mes besoins et envies du moment.

Avec chaque respiration je me rapproche de ce qui compte, de mon essentiel, de mon pouvoir créateur…

Et parfois quand tout va vite ou que je me trouve en pleine nature, face à la mer souvent, je fais une pause, je regarde les éléments autour, je ferme les yeux et j'écoute les sons. C'est une méditation différente, mais qui elle aussi m'apporte énormément de paix. 

Et vous, vous méditez ? Comment ? Pourquoi ? Ou pas ?

Citation du jour

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mardi 7 novembre 2017

Samedi 18 novembre : Le 2ème congrès Bulles de Joie vous propose une journée riche et pétillante

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Bonjour chers lecteurs,

Que diriez-vous de vivre une journée joyeuse et enrichissante qui va vous permettre de vous recharger en énergie positive, de faire de nouvelles rencontres et de découvrir des outils qui vont vous amener plus de joie dans votre quotidien ?

Ah ah, j'en vois qui sont tentés !


Eh bien rendez-vous le samedi 18 novembre à la Celle Saint-Cloud (78) pour le 2ème congrès Bulles de Joie. Lors de cette journée vous vivrez une expérience dont le fil directeur est la joie.

dimanche 29 octobre 2017

mardi 10 octobre 2017

La dictatrice du bonheur

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Il était une fois une petite fille qui croyait qu'elle avait le pouvoir de rendre les gens heureux. Elle était très sensible à la peine d'autrui et se sentait mal dès qu'elle voyait un être en difficulté.

On lui disait qu'elle était gentille et cela lui faisait plaisir. Elle trouvait toujours une façon d'aider ou de réconforter les autres.

En grandissant elle s'est tournée vers des métiers où elle allait venir en aide aux autres, les aider à résoudre leurs problèmes et à se sentir mieux.

Un jour cette petite fille est devenue maman. Et voir ses enfants tristes ou malheureux était très difficile pour elle. Elle voulait à tout prix les rendre heureux et alléger leur peine quand ils vivaient des moments difficiles. Pourtant, plus ses enfants grandissaient, moins elle avait le pouvoir de résoudre leurs problèmes.

Comment gérer la souffrance de ceux qui nous sont chers ? Comment être présents pour eux sans vivre à leur place leurs émotions à travers notre propre filtre ? Comment accompagner nos amis dans des passages difficiles sans que leur tristesse résonne si fort qu'elle devient la nôtre ?

Elle n'avait pas de réponse à cette question. Alors elle essaya de tout faire pour que ses enfants, et ceux qu'elle aimait, passent de bons moments. En quelle que sorte elle voulait les sauver de leurs souffrances...

Elle sentait que ce n'était pas la bonne attitude, ni pour elle, ni pour ses proches. 
Est-ce en évitant la souffrance que l'on peut être heureux ? Se priver de ce qui pourrait nous faire mal, par peur d'être blessé à nouveau, peut devenir une prison que nous nous créons nous-même, une façon d'enlever des couleurs au tableau. 

Faut-il être heureux à tout prix d'ailleurs ?  Comment vivre sa vie, être et se sentir vivant ? Comment vivre avec ceux que nous aimons, être ensemble sur ce chemin, quel que soit le voyage qui se dessine ?

Nous avons un corps, une histoire, une âme, une palette d'émotions en nous... Une multitude d'expériences à vivre s'offrent à nous. Et vouloir à tout prix que les autres soient heureux, que l'on soit heureux, peut devenir une forme de dictature et générer l'inverse de ce qui est souhaité au départ.

La petite fille devenu grande a réalisé qu'elle était enfermée dans ce désir de bonheur et que petit à petit elle risquait d'enfermer ceux qu'elle aimait le plus en voulant leur éviter de vivre ce qu'ils avaient à vivre.

Elle commençait aussi à comprendre que sa propre tristesse trouvait écho dans celle des autres et qu'elle avait peut-être à accepter de vivre cela, de regarder à l'intérieur d'elle-même la part endormie qui attendait...

Et à partir de là, quelque chose changera.

lundi 9 octobre 2017

Découvrir le feng Shui traditionnel chinois : Un entretien très intéressant

2 commentaires :
Bonjour à tous,

Vous arrive-t-il d'écouter des podcasts ou des vidéos quand vous êtes en train de cuisiner ? C'est ce que je viens de faire aujourd'hui alors que je préparais un gratin dauphinois !

J'avais envie de me rafraîchir les idées à propos du Feng Shui, et j'ai découvert cet entretien très intéressant que je vous invite à regarder et écouter.

Pour vous qui souhaitez en savoir plus sur cette discipline millénaire et ses applications possibles dans notre vie quotidienne, vous aurez ici des éléments de réponses et des exemples  concrets qu'Olivia Roy praticienne Feng Shui présente clairement.

Bon visionnage !

vendredi 22 septembre 2017

Citation du jour

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"Mieux vaut marcher sans savoir où aller que rester assis sans rien faire"

source photo : ici


Proverbe Touareg

mercredi 13 septembre 2017

Livre : Un chat médium nommé Oscar - Docteur David Dosa,

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Il y a quelques semaines ma voisine me parlait d'une histoire incroyable. Il s'agit d'un chat qui se rend au chevet des patients au moment de leur mort. Cette histoire est celle que le Docteur David Dosa raconte dans son livre  : Un chat médium nommé Oscar.

"Sur la côté Est des Etats-Unis, il est un établissement accueillant des patients en phase terminale qui compte un hôte un peu spécial : Oscar le chat. (...) Les infirmiers et les médecins ont remarqué que, lorsqu'il se couche sur le lit d'un patient, celui-ci décède peu après."

Dans ce livre, le Docteur Dosa partage son expérience avec des patients atteints de démence, en fin de vie. Il nous décrit le quotidien  des résidents de L’institut Steere House où il exerce.

Intrigué par le comportement du chat relaté à travers les récits des infirmières et ceux des proches des patients qui viennent de décéder, il décide de mener l'enquête auprès de ces familles pour lesquelles Oscar a joué un rôle particulier.

"Personne dans l'équipe, à commencer par moi, n'avait compris la gravité de l'état de la patiente, ni anticipé son décès, mais Oscar percevait les choses différemment. Aveuglé par mon inébranlable foi de scientifique en ma vanité intellectuelle, je n'avais su admettre qu'un chat de gouttière pût se montrer plus perspicace que l'équipe médicale. Me serais-je à ce point fourvoyé ? Curieusement je trouvais exaltante cette hypothèse. Oscar était présent lors de chaque décès. Pouvait-on vraiment parler de coïncidence ?

Ce livre est écrit avec beaucoup d'humanité et avec des touches d'humour malgré les sujets abordés. Il permet de mieux comprendre le quotidien des patients, de leurs proches et des soignants, dans un double processus de deuil : Celui de ne plus reconnaître un être cher atteint de démence, et celui de perdre cet être aimé au moment de sa mort.

A travers l'enquête pour comprendre comment Oscar se rend au chevet des mourants, se pose la question de la présence auprès de ce que nous aimons, aux différentes étapes de leurs vie. Et cette présence quand elle est celle d'un animal comme Oscar, prend une dimension toute particulière.

Merci Inge de m'avoir prêté et fait découvrir ce livre !

jeudi 31 août 2017

Hommage à Louise Hay

4 commentaires :


Hommage à Louise Hay, qui vient de nous quitter.

Louise Hay est l'auteur d'un des premiers livres de développement personnel que j'ai lu et elle m'inspire énormément. C'est grâce à elle que j'ai découvert les affirmations positives et son travail a une grande influence sur ma vie.

Thank you Louise

lundi 31 juillet 2017

Citation du jour

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Je me détends et je profite de la vie.
Je sais que tout ce que je dois connaître
me sera révélé en temps et en lieu voulus.

Louise Hay

lundi 3 juillet 2017

Je t'autorise aujourd'hui à te libérer du poids du passé

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A mon moi de l'enfance,
A mon moi de l'adolescence
A mon moi d'hier

Je t'autorise aujourd'hui
A te libérer
Du poids du passé

Quand les enfants vous parlent, ils n'ont pas toujours besoin que vous leur donniez des réponses "adultes"...

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Aujourd'hui Myrtille nous invite à lire un article très intéressant qui vous donnera quelques clés pour mieux interagir avec les enfants notamment quand des enjeux émotionnels sont au rendez-vous.


"Quand les enfants vous parlent, ils n'ont pas toujours besoin que vous leur donniez des réponses "adultes", ils ont besoin que vous soyez connecté à leurs émotions, ils ont besoin d'être entendus"



Les 4 étapes de la connexion (les enfants coopèrent quand ils se sentent connectés)


Dans leur livre La discipline sans drame, Daniel Siegel et Tina Payne proposent une approche éducative basée sur la connexion.

Les enfants coopèrent d’ordinaire beaucoup plus vite s’ils se sentent connectés à nous et si nous les incitons à un échange agréable et enjoué. Tout est dans notre façon de nous y prendre. Nous pouvons être de bien meilleurs éducateurs si notre comment est respectueux, ludique et calme. – Daniel Siegel et Tina Payne

Se connecter signifie faire en sorte que les enfants se sentent compris et les assurer de notre présence à leurs côtés dans les moments difficiles (émotions douloureuses, frustration, stress…). La plupart du temps, la connexion avec les enfants en proie à des émotions désagréables et difficiles à canaliser comportent 4 étapes.

vendredi 23 juin 2017

Permission (créative)

2 commentaires :
"Vous pouvez me croire, cela fait des années que votre âme attend de s'éveiller à votre existence.

(...)

- Pour qui tu te prends ? demanderont vos voix intérieures les plus noires.

- C'est drôle que vous me le demandiez, pourriez-vous répondre. Je vais vous le dire. Je me prends pour ce que je suis : un enfant de Dieu, comme n'importe qui d'autre. Je suis un composant de l'Univers.

D'invisibles esprits bienveillants croient en moi et travaillent à mes côtés. Le fait que je sois là est simplement la preuve que j'ai le droit d'y être. J'ai le droit d'avoir une vision personnelle et de m'exprimer. J'ai le droit de collaborer avec la créativité, parce que je suis moi-même un produit et une conséquence de la Création." 




Elizabeth Gilbert, Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre, p.103

samedi 3 juin 2017

Connaissez-vous la géobiologie ?

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Voici une interview très intéressante sur la géobiologie que j'ai découverte vendredi qui vous permettra de mieux connaître cette pratique et de cerner l'influence de multiples facteurs du lieu où nous vivons sur notre bien-être.

Laura LEFEBVRE parle de son métier de géobiologue lors d'une interview sur le blog Domaine Maison.

 "La géobiologie étudie la qualité énergétique d'un lieu - caractéristiques d'un lieu et facteurs ayant une influence sur le bien-être et la santé -, formule des recommandations et met en œuvre des solutions respectueuses du lieu et de ses occupants afin de préserver ou d’améliorer le bien-être des occupants et une harmonie durable pour le Vivant.

Il existe plusieurs approches en géobiologie selon la formation du géobiologue.

Certains fondent essentiellement leur travail sur la neutralisation des phénomènes émanant du sous-sol (réseaux géobiologiques, veines d’eau, discontinuités du sous-sol). Ma pratique est basée sur une autre vision où le lieu et ses habitants sont approchés (dialogue) et traités avec une vision globale pour un rééquilibrage et une (ré)harmonisation globale."


Pour la lire la suite de l'interview rendez-vous sur ici : http://domaine-maison.com/mieux-connaitre-geobiologie-linterview-dune-professionnelle/

lundi 29 mai 2017

Les pierres : un accompagnement différent

4 commentaires :


 
Les pierres ont un pouvoir. J’avoue que j’en avais déjà entendu parler mais ce n’est qu’en découvrant les créations de Marie (Deep Stones) que je suis devenue plus sensible à leurs propriétés et leurs énergies. 

« La lithothérapie est une approche holistique de soins basée sur l’influence subtile que peuvent apporter les minéraux » .
 
Mon premier achat était orienté esthétique. Je n’ai pas regardé la composition du bracelet, les couleurs me parlaient, j’ai sauté le pas. Marie dit souvent que c’est une question de feeling ! Elle n’avait pas tort. Le jaspe mokaïte est bienfaisant pour le corps et l’esprit. Une bonne entrée en matière.

Depuis j’y vais au feeling et parfois même je suis surprise de découvrir après coup les vertus physiques et psychiques de la pierre choisie. Le site de GhislaineManciot est très bien fait.

Je n’ai pas de formation en lithothérapie, je considère l’usage des pierres comme une aide pour un mieux-être et ne les perçois pas comme un remède miracle. Depuis plusieurs mois, je porte les bracelets de Marie et chaque jour chacun m’apporte quelque chose, m’aide à y voir plus clair, m’apaise, me pousse en avant ou me « murmure » de prendre mon temps. La terre est merveilleuse et ses ressources sont précieuses.

Il existe de nombreuses pistes pour avancer sur notre chemin de vie. Chacune ne nous correspond pas forcément. Essayer c’est se donner une chance de découvrir un nouvel univers. Et cela réserve aussi parfois de bien belles surprises ! 

Et vous, ça vous parle les pierres ? Vous en utiliser au quotidien ? En brut ou en bijoux ?

mardi 23 mai 2017

Mieux comprendre et désamorcer vos ruminations mentales : Les conseils de Dr Eve Thiébaut médecin psychiatre et psychothérapeute

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"Connaissez-vous des techniques faciles à mettre en pratique pour désamorcer la rumination mentale quand elle commence ? Comment s’ancrer dans le présent et le concret dans ces cas-là ? Surtout la nuit lors d’insomnie !"

C'est la question que j'ai posée à Eve Thiébaut médecin psychiatre et psychothérapeute qui co-anime avec sa fille Sarah Chêne le blog "Je me libère du stress".

Voici la réponse très riche en vidéo et avec un article détaillé que je vous invite à découvrir ici.

 

Bonne découverte et surtout un grand MERCI 😊 à Eve et Sarah pour cette vidéo qui sera suivie de deux autres pour approfondir le sujet.

Si vous aussi vous avez une question, n'hésitez pas à la poser ici : http://jemeliberedustress.com/questions-reponses/

Pour lire l'interview de Sarah et Eve parue ici : http://aupaysdubienetre.blogspot.fr/2017/02/sarah-chene-et-le-dr-eve-thiebaut.html

lundi 22 mai 2017

Ces émotions qui nous rendent malades - Conférence de Sandra James

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Le 4 mai dernier j’avais réservé une place pour la conférence de Sandra James sur le thème « ces émotions qui nous rendent malades ». Vaste programme.


La psychobiologie, étudiée par Sandra, dit que derrière la maladie, il y a des émotions mal digérées. Quand nous faisons face à un choc émotionnel, un stress suraigu constant ou un stress répété, le cerveau en mode survie descend dans le corps et génère la maladie. Nos émotions s’expriment à travers le corps. A l’aide d’exemples très concrets, Sandra nous a guidés sur les chemins de toutes nos émotions contenues, jamais exprimées, source de ces maladies (mal-a-dit). 


Ce que j’ai surtout trouvé passionnant c’est son approche pratique. Quand Sandra nous a parlé des « toilettes émotionnels », ça a fait tilt. Nous sommes sujets chaque jour à de multiples émotions, que nous ressentons et gérons tous différemment. Quand trop d’émotions s’accumulent nous avons tendance à les garder en nous. Jusqu’au moment où nous explosons le plus souvent en compagnie de personnes qui comptent le plus pour nous (famille, enfants, conjoint, amis proches) et cela fait toujours quelques dégâts (plus ou moins importants). D’où l’intérêt d’avoir un espace pour libérer ces émotions avant qu’elles ne prennent toute la place et se répercutent dans notre corps. 


Sandra nous explique les règles de bases : 1- Cela se fait seul 2- Il faut ressentir l’émotion au moment où on fait l’exercice ou se remettre dans le contexte 3- Cela doit passer par la bouche 4- A la première personne « je ». 
 « Le tu ça tue », ça alimente la colère et ça ne sert  rien. Nous sommes responsables de nos émotions. En prendre conscience nous permet de nous en libérer. Nous ne sommes pas dépendants des autres pour guérir. 


Il est aussi possible de lâcher sa colère, sa peur, ses angoisses, son chagrin, son amertume, sa honte, son dégout, sa culpabilité (ect…) en tapant dans un coussin, en criant, en déchirant des papiers. Et essentiel de montrer l’exemple à nos enfants. Plus nos enfants grandissent, plus on leur demande, comme on l’a appris, à retenir leurs émotions.  Les gérer, oui, car nous ne pouvons pas exprimer nos émotions tout le temps, partout, et ils doivent l’apprendre eux aussi. Mais les contenir, non. Il est important que chacun puisse aller quand il le souhaite ou en a besoin aux « toilettes émotionnels » pour se vider et se libérer.


Pour ma part, j’ai décidé d’intégrer sans tarder cette pratique dans mon quotidien. Et chaque soir je me rends aux « toilettes émotionnels ». J’arrive même à sortir des choses que je ne croyais pas ressentir. Cela me fait un bien fou. Parfois quand trop c’est trop, je fonce crier dans un coussin à l’abri des regards. En me tournant vers moi, je prends de la distance par rapport aux autres et ce que jugeais avant être leurs « erreurs ». En prenant la responsabilité de mes ressentis émotionnels je suis seule maître à bord et contre toute attente, c’est extrêmement rassurant !  

La prochaine fois je tente les constellations familiales... 

  
Pour en savoir plus:
Site de Sandra James 
Livre de Maux en Mots
Crédit Image (Sandra James Website)